Le Cégep vu par… Thomas

Cheminement scolaire

Quels étaient tes intérêts professionnels avant de t’inscrire au cégep?

En secondaire 4 et 5, je voulais plus m’en aller vers la physiothérapeute. Mais après ça, j’ai découvert un peu plus l’informatique. J’ai commencé à faire de la programmation pendant la pandémie. Je me suis un peu intéressé à ça et ça m’a fait découvrir les programmes qui touchaient à [ce domaine].

Comment as-tu découvert le programme Sciences, informatique et mathématique?

Le Cégep de Rosemont était l’un des seuls cégeps que j’avais eu le temps de visiter. Je me suis donc un peu plus concentré sur les programmes qui étaient présents à ce cégep, puis j’ai vu qu’il y avait un programme préuniversitaire qui était en informatique. Je croyais qu’il y avait juste une technique et cela ne me tentait pas vraiment de faire une technique. Le programme était aussi un compromis entre la physio et la programmation.

Pourquoi as-tu choisi de venir étudier au Cégep de Rosemont?

Je trouvais que Rosemont était un plus petit cégep, puis je trouvais que la connexion entre les professeurs et les élèves était plus forte. Dans la plupart de mes cours, les professeurs peuvent me reconnaitre. Juste ça, c’est un peu plus réconfortant. Je trouve que la proximité avec l’enseignant est plus grande, puis on peut plus s’orienter dans le cégep vu que c’est plus petit.

Le programme Sciences, informatique et mathématique

Qu’aimes-tu le plus de ton programme?

Je dirais mon cours de programmation, parce qu’on se concentre plus sur Java, juste un langage informatique. On peut donc se concentrer, on y va étape par étape. Je trouve que c’est vraiment facile à apprendre comme ça.

Comment décrirais-tu ton programme à quelqu’un qui ne le connait pas?

C’est un peu comme [le programme] Sciences de la nature, mais on n’a pas tous les cours de bio qui touchent plus la santé. Ce sont des cours de programmation qu’on va avoir à la place et notre dernier cours de mathématiques est Mathématiques discrètes, donc c’est différent.

Décris-moi les différents types d’activités d’apprentissage de ton programme. 

En programmation, on va souvent avoir des ateliers puis des petits mini quiz. Puis, on va avoir soit des cours théoriques ou des cours pratiques de programmation. Cette session-ci, on a trois projets puis on a trois examens plus sommatifs.

Dans mon programme, j’ai aussi un cours de mathématiques et un cours de sciences par session. Comme à la deuxième session, c’est mon cours de mécanique puis mon cours de calcul intégral.

Si tu pouvais donner un seul conseil à une personne qui commence des études collégiales, que lui dirais-tu?

Je conseillerais d’établir une routine pour la session puis, pendant la session, d’essayer de s’y tenir. Parce que si tu dévies une fois de cette routine-là, peut-être que tu ne seras vraiment plus capable d’y retourner. Ça m’est arrivé dans ma première session. Je m’étais fait toute ma routine puis, vers la fin, j’ai un peu déraillé et ça a été un peu plus dur de rembarquer. Donc, avoir une bonne routine et s’y tenir pendant toute la session; c’est le meilleur conseil que je peux donner.

Le Collège

Comment décrirais-tu l’ambiance qui existe au Cégep de Rosemont?

Je trouve que l’ambiance à Rosemont est quand même assez détendue, pas compétitive. J’ai des amis qui sont en Sciences de la nature dans d’autres cégeps et ils me disent qu’il y a quand même beaucoup de compétition entre les élèves. À Rosemont, il y a parfois des personnes dans mon cours à qui je n’ai jamais parlé, qui viennent me demander des choses et je leur réponds facilement et, vice versa, si je demande des questions à d’autres personnes dans mes cours, elles vont me répondre assez gentiment.

Qu’aimes-tu le plus du Cégep de Rosemont?

Ce que j’aime, c’est que le Collège soit petit. Tu sais, je peux marcher dans le corridor et voir deux fois la même personne. Il n’y a pas trop d’élèves, je trouve que c’est facile de se repérer, de se faire des amis, de se faire une gang, d’étudier avec du monde et de mieux performer.

Après le Collège

Où te vois-tu dans cinq ans?

Dans cinq ans, je me vois à l’université, peut-être en programmation. J’aimerais peut-être faire un génie en informatique. J’aimerais bien ça, mais je ne sais pas. Tout peut changer!