Le programme Techniques de recherche et de gestion de données selon Edwine

Le Cégep de Rosemont a rencontré Edwine, une étudiante du programme Techniques de recherche et de gestion de données. Découvre ce qu’elle apprécie de sa formation et du cégep!

Le cheminement scolaire 

Quels étaient tes intérêts professionnels avant de t’inscrire au cégep?

Mes intérêts professionnels étaient un peu variés. Je sortais d’un diplôme en vente dans un collège en France. Je n’étais pas trop certaine de ce que voulais faire, donc j’ai fait eu plusieurs petits emplois, en vente.

Le programme Techniques de recherche et de gestion de données

Pourquoi as-tu choisi d’étudier dans ce programme?

Après avoir fait des listes de pour et de contre pour plusieurs programmes, c’est celui-ci qui est ressorti vainqueur. Il y a beaucoup d’analyse, beaucoup de recherche. C’est quelque chose qui me passionne!

Peux-tu décrire l’ambiance dans ton programme? Ce que tu aimes le plus?

C’est très familial. Il y a beaucoup de soutien et l’esprit d’équipe est très présent. Tout le monde est là pour toi, que ce soit les camarades ou les profs.

J’aime l’esprit d’équipe. Comme on est une petite technique, on est vraiment là les uns pour les autres. Je sais que si j’ai un problème, je peux compter sur mes camarades, et vice versa. J’apprécie beaucoup.

Comment décrire les cours de ta technique? Tes enseignants?

On fait beaucoup d’analyses qualitatives et d’analyses quantitatives. Ce que j’aime vraiment, c’est qu’on a des cours qui nous introduisent à chaque type d’analyses ou d’études qu’on va faire. Des cours introductifs sur l’analyse qualitative par exemple, pour savoir ce que c’est, ce que ça représente, etc. On voit au fur et à mesure plusieurs outils qui nous permettent d’approfondir chaque concept. Je trouve que le programme est bien organisé, bien structuré.

Ce que je retiens de mes enseignants, c’est leur soutien, leur esprit et leur écoute active pour l’ensemble des étudiants. Ils sont vraiment là pour nous. S’il y a un problème, qu’on a besoin d’aide, d’une rectification, ils sont ouverts. C’est beaucoup de soutien.

Est-ce que certaines activités d’apprentissage t’ont particulièrement marquée? Et des enseignant.e.s?

On fait beaucoup de mises en situation : que ce soit des entrevues avec des personnes de l’externe qui nous mettent face au monde extérieur. On a aussi des mises en situation entre nous, au Cégep. On se fait des centres de goûter, donc c’est très chaleureux, très convivial, on est tous très à l’aise. Pour la continuité c’est important.

L’ensemble de mes professeur.e.s de ma technique m’ont marqué, mais pour en citer, France Lavoie, Frank Aurélien Tchokouagueu, Yolande Goudreau, Isabelle Jacques… J’en ai d’autres! Ils sont tous spéciaux, tous des éléments importants pour le programme, et surtout pour ma réussite. Ils ont tous marqué mon parcours.

Les stages

Comment se déroulent les stages en TRGD?

En TRGD, on a de l’aide qui est fournie par nos enseignants pour trouver un stage, ce qui facilite grandement la chose! Les stages qu’on fait dans des entreprises peuvent ouvrir la porte à un emploi une fois le stage complété. Ce n’est pas un simple stage, car il peut t’apporter plus sur du long terme.

Tu participes à un colloque à l’international, peux-tu en dire plus?

Avec deux collègues, on participe à un colloque hors programme sur la démocratie et la mobilité, au Portugal. C’est une opportunité qu’on a eue grâce à notre enseignant Frank Aurélien Tchokouagueu. C’est une présentation d’affiche qui se fait sur trois jours. On sera face à des professionnels et autres dans le milieu de la recherche, qui vont nous poser certaines questions par rapport à notre étude, etc.

Notre sujet est « Le mariage comme forme d’immigration. Pour notre étude, nous avons décidé de ne cibler que des femmes, de voir leur point de vue. On sait tous que c’est un peu mal vu, mal interprété, les mariages internationaux de type immigratoire. On voulait voir le point de vue des femmes, savoir comment elles subissent et vivent le fait de se déporter dans un autre pays – que ce soit un changement culturel ou autre. C’est un élément important, au-delà du fait que ce soit un mariage venu d’ailleurs. Ça reste qu’elles vivent une expérience unique. On voulait savoir comment elles ont vécu leurs difficultés, les avantages, etc.

Cette expérience nous ouvre plusieurs portes. On a d’ailleurs eu droit à une bourse du Fonds de recherche du Québec (FRQ). Le projet se met en place et commence à prendre de l’ampleur. Toute la technique est derrière nous. On se dit que peut-être ça va faire connaitre le programme, son importance et la variété des sujets abordés et traités. C’est une expérience unique et importante!

Le Cégep

Que retiens-tu de ton passage à Rosemont jusqu’à maintenant?

Je retiens l’esprit ouvert des gens, ils m’ont fait changer et évoluer. Ma façon de penser ou d’analyser les choses est plus éveillée. Cette technique m’apporte beaucoup, sur la continuité, ça touche l’ensemble de ma vie en soi.

Si tu pouvais donner un conseil à une personne qui commence des études collégiales, que lui dirais-tu?

Je conseillerais de parler, d’avoir confiance. Ici, il y a beaucoup de soutien, beaucoup d’aide. Si tu parles à une personne, elle va savoir te diriger vers la bonne ressource qui pourra d’aider. Et de profiter de ton programme!